- SAUT A L'ELASTIQUE -
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Les Ponts d'Adrenaline Elastique  " EXERMONT, DRUYES LES BELLES FONTAINES et CLAUDON "  se situent dans les régions de la Champagne Ardenne, de l'Ile de France, de la Lorraine, de l'Alsace, la Franche Comté, la Bourgogne, de la Belgique.

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Histoire et début du saut à l’élastique en France.

Ainsi que par le monde.

Les premiers sauteurs que l’on pourraient qualifier de sauteurs à l’élastique, s’ils avaient eu un élastique furent et sont encore les Papous de l’Ile de Pentecôte qui eux donnèrent l’idée aux précurseurs de ce sport.

En 1950 une équipe de tournage de la BBC ramena des images de la terre de l’Ile de Pentecôte, Images de jeunes Vanuatu qui venaient de sauter, attachés par les pieds, d’une plateforme en bois, avec des lianes liées à leurs chevilles et ceci pour tester leur courage, qui signifiait le passage de l’adolescence à l’âge adulte.

Les premiers sauts à l’élastique moderne ont été fait le 1er avril 1979 d'un pont suspendu par David Kirke, (mais plusieurs informations nous disent que le premier sauteur serait Yaseque, un polonais aujourd’hui décédé, qui sauta en 1974 du haut d’une grue portuaire avec des chambres à air (60) de camion prisent les unes dans les autres. Cet exploit ne fut pas relayé ou très mal, par les médias de ce pays, compte tenu du contexte politique de l’époque, mais plusieurs informations confirment le fait. A notre connaissance il n’existe qu’une ou deux photos de Yaseque.

Le saut à l’élastique commercial a débuté en France en 1988 avec des équipes françaises telles que Elastique 2000, Elastique Jump, Vertige Aventure, Euro- Benji, Elastique Fun, Roc et Canyon, Attitude ch, quant à Aj Hackett qui n’arriva en France que dans les années 1991 pour l’ouverture de la Souleuvre, il fit ses premiers sauts en Nouvelle Zélande au Greenhithe Bridge en 1986.

Pendant les années suivantes, il effectua un certain nombre de sauts de ponts et d’autres structures (y compris de la Tour Eiffel qui fut sa référence), il reste l’un des grands opérateurs commerciaux de ce sport et ceci dans plusieurs pays.

Plusieurs millions de sauts ont été effectués depuis les années commerciales qui débutèrent en fin 1987 début 1988.

Les opérateurs se conforment rigoureusement à la réglementation de 1989 la norme directive régissant les sauts, en s’appuyant sur le double contrôle et la vérification à chaque saut et depuis 2005 par  la Norme Afnor. La France reste le premier pays qui a développé le saut à l’élastique et c’est de celui-ci que tout part.

Comme dans tous les sports nouveaux, il y eu des accidents donc des morts. Mais ceci restèrent extrêmement rares. Les blessures et les accidents peuvent encore se produire mais très rarement.

Une des erreurs relativement courante dans les cas de mortalité est d’utiliser une corde qui est trop longue. Le cordon doit être réglé en fonction de la hauteur de la plateforme ainsi que du poids du sauteur pour lui permettre d’avoir un espace assez grand pour pouvoir s’étirer en ayant une marge de sécurité de X mètres, le cordon doit atteindre sa longueur d’extension naturelle en ayant fait une décélération progressive.

Une seconde erreur : les sociétés qui cherchent à s’approcher du sol en ne faisant pas les réglages nécessaires ou en ne calculant pas la fatigue de l’élastique en se basant sur les essais fait souvent le matin ou la veille.

Une autre erreur (le seul et unique cas que nous connaissons) qui fit grand bruit en France est le touché d’eau une association essaya de faire un touché ou une approche d’un plan d’eau en faisant des sauts trop près de la berge, le jump master (moniteur) fit s’élancer le sauteur sans avoir vérifié son bon positionnement bien à l’aplomb du plan d’eau : le sauteur toucha violemment la berge.

Le dernier : la rupture d’élastique. Celle-ci survint presque toujours au niveau de l’une des têtes en haut ou en bas, là ou il y à le moins de latex et que la résistance est moindre ou aux sangles, si celles-ci ne sont pas des jambières.

Plusieurs peuvent faire aboutir à une rupture, en premier la qualité du latex ainsi que sa résistance de plus de 2,5 kg au brin, au dessous la résistance devient trop faible, autre cas si l’élastique a dépassé le nombre de sauts raisonnables, ce qui fatigue celui-ci et le fragilise d’où une vérification systématique des têtes à chaque saut.

La dernière erreur et pas des moindres : la fabrication.
Toujours fabriquer les élastiques dans un endroit propre sans possibilité que des produits corrosifs  n’aient l’occasion de couler ou de se déposer dessus (ex: acide de batterie ou autre) et ou aucun élément ne puisse entrer dans la tête lors de la fabrication, ce qui fragiliserait systématiquement les têtes lors des sauts et les rendraient cassantes (exemple : petit caillou).